Le pauvre Tybalt ne semble pas trop savoir ce qu’il fait ici… Il est toutefois reconnaissant à ses sauveurs de l’avoir tiré de ce mauvais pas. Rapidement, il s’inquiète pour son cheval et son épée. Cette dernière est rapidement retrouvée par Vagda parmi les armes de l’armurerie ; c’était la seule dans un état correct. Quant au cheval, Enariel, qui a finalement consenti à mouiller sa cape pour rejoindre ses compagnons, conseille au jeune homme de l’oublier.
Le groupe, emmené par Draël, descend maintenant les escaliers rendus glissants par le filet d’eau qui le dévale, vers la lumière d’un portail enflammé. Un des élévateurs, en fait. Devant le portail, le couloir continue vers la droite. Il est en mauvais état, et pour cause : une énorme mare s’est formée dans un coin du couloir, alimentée par l’eau venant de l’armurerie. Rongée par l’humidité, la maçonnerie menace de s’effondrer.
Au delà de la mare, deux doubles portes en bronze, devant lesquelles une jeune femme semble attendre le groupe. Elle se nomme Laurazhi et est ensorceleuse. Elle explique au groupe qu’elle cherche un portail, qu’elle sait qu’il se trouve derrière cette porte et qu’il est gardé par des démons. Elle sait tout cela grâce aux sorts de divination qu’elle a lancé avant de rentrer dans le complexe. Elle a besoin de la force de frappe des aventuriers, le portail étant trop bien gardé pour elle.
Suite aux avertissements de Laurazhi, le groupe décide de ne pas passer les portes de bronze immédiatement, mais de retourner se reposer près du troll de pierre, une fois de plus.
Une fois en pleine possession de leurs moyens, nos aventuriers partent à l’assaut des portes de bronze. Une fois ouvertes, celles-ci révèlent une grande pièce à alcôves, contenant plusieurs énormes portails en mauvais état, et surplombée par un balcon, situé au fond de la salle au dessus d’un escalier en colimaçon, à plus de vingt mètres de haut. Au centre de la pièce une lourde brume verdâtre se déplace lentement vers eux. Enariel l’identifie rapidement comme un sort de brume mortelle… Le groupe s’avance donc prudemment, évitant de pénétrer dans le nuage, lorsqu’une créature insectoïde en sort, un trident à la main, et se jette sur l’elfe.
Ses compagnons viennent à sa défense, mais la créature se cache dans la masse brumeuse et empoisonnée, qui ne semble pas l’incommoder. Le groupe se replie derrière les portes de bronze, pour se mettre à l’abri du poison. Le démon ne semble pas vouloir les poursuivre, ils attendent donc un quart d’heure, espérant de la brume se dissipe, avant de tenter un nouvel assaut. La créature est là, seule au milieu de la pièce. Les guerriers du groupe se jettent à l’assaut, tandis que les autres, plus prudents, longent les murs de la pièce… Une idée finalement plutôt avisée, puisque le démon commence le combat en invoquant une nouvelle brume, ce qui provoque une réaction de recul de la plupart des assaillants. Seul Vagda et Helten ne se replient pas… Vagda, immunisé au poison, semble bien décidé à affronter la créature seul à seul si nécessaire. Helten, quant à lui, est tombé, victime de la brume.
Alors que ses compagnons se sont à nouveau calfeutrés derrière les portes de bronze, Vagda se bat héroïquement, jusqu’à ce que son adversaire ne lance un sort de ténèbres… Le forgelier décide alors de rompre le combat, trop désavantagé dans un combat en aveugle contre un démon. Mais alors qu’il vient de rejoindre ses compagnons, les ténèbres disparaissent… Un petit coup de soin magique, et il retourne dans la salle, toujours embrumée. Pas de trace du démon, mais un chant entêtant, qui provient d’en haut, du balcon.
Soudain, de derrière la rambarde de celui-ci, se dresse un gnoll. Pointant le forgelier du doigt, il vocifère « Si vous n’allez pas aux Abysses, alors les abysses viendront à vous » avant de partir d’un rire dément qui caractérise les grands méchants des romans d’aventures. Aussitôt, une masse de crânes noircis se repend depuis un des portails, accompagnées d’une odeur de mort et… D’un énorme démon au dos couvert des pointes hérissées, grognant et écumant.
Vagda décide alors qu’il a été assez héroïque aujourd’hui et fait demi-tour vers ses compagnons, les enjoignant de prendre, eux aussi, leurs jambes à leurs cous… Le regroupement s’opère dans la grande salle aux élévateurs. Personne ne semble les poursuivre, les aventuriers se détendent donc un peu, et envisagent la suite des opérations.
Suite à une discussion privée avec Kendri, Laurazhi –coup de théâtre– revient vers le groupe et confesse être une succube, et non une ensorceleuse. Pour le reste, elle dit n’avoir pas menti : elle recherche effectivement le portail, car elle veut l’utiliser pour rentrer chez elle. Elle se moque pas mal de ce qui pourra en être fait après, mais conseille tout de même au groupe, un petit sourire aux lèvres, de se méfier de Kendri. Pour preuve de sa bonne fois, elle donne à ses « amis » une série d’information sur le fonctionnement du portail. D’après elle, certains composantes nécessaires au fonctionnement du portail serait encore dans ce complexe, aux mains de sbires de Gashkarr…
Le groupe, emmené par Draël, descend maintenant les escaliers rendus glissants par le filet d’eau qui le dévale, vers la lumière d’un portail enflammé. Un des élévateurs, en fait. Devant le portail, le couloir continue vers la droite. Il est en mauvais état, et pour cause : une énorme mare s’est formée dans un coin du couloir, alimentée par l’eau venant de l’armurerie. Rongée par l’humidité, la maçonnerie menace de s’effondrer.
Au delà de la mare, deux doubles portes en bronze, devant lesquelles une jeune femme semble attendre le groupe. Elle se nomme Laurazhi et est ensorceleuse. Elle explique au groupe qu’elle cherche un portail, qu’elle sait qu’il se trouve derrière cette porte et qu’il est gardé par des démons. Elle sait tout cela grâce aux sorts de divination qu’elle a lancé avant de rentrer dans le complexe. Elle a besoin de la force de frappe des aventuriers, le portail étant trop bien gardé pour elle.
Suite aux avertissements de Laurazhi, le groupe décide de ne pas passer les portes de bronze immédiatement, mais de retourner se reposer près du troll de pierre, une fois de plus.
Une fois en pleine possession de leurs moyens, nos aventuriers partent à l’assaut des portes de bronze. Une fois ouvertes, celles-ci révèlent une grande pièce à alcôves, contenant plusieurs énormes portails en mauvais état, et surplombée par un balcon, situé au fond de la salle au dessus d’un escalier en colimaçon, à plus de vingt mètres de haut. Au centre de la pièce une lourde brume verdâtre se déplace lentement vers eux. Enariel l’identifie rapidement comme un sort de brume mortelle… Le groupe s’avance donc prudemment, évitant de pénétrer dans le nuage, lorsqu’une créature insectoïde en sort, un trident à la main, et se jette sur l’elfe.
Ses compagnons viennent à sa défense, mais la créature se cache dans la masse brumeuse et empoisonnée, qui ne semble pas l’incommoder. Le groupe se replie derrière les portes de bronze, pour se mettre à l’abri du poison. Le démon ne semble pas vouloir les poursuivre, ils attendent donc un quart d’heure, espérant de la brume se dissipe, avant de tenter un nouvel assaut. La créature est là, seule au milieu de la pièce. Les guerriers du groupe se jettent à l’assaut, tandis que les autres, plus prudents, longent les murs de la pièce… Une idée finalement plutôt avisée, puisque le démon commence le combat en invoquant une nouvelle brume, ce qui provoque une réaction de recul de la plupart des assaillants. Seul Vagda et Helten ne se replient pas… Vagda, immunisé au poison, semble bien décidé à affronter la créature seul à seul si nécessaire. Helten, quant à lui, est tombé, victime de la brume.
Alors que ses compagnons se sont à nouveau calfeutrés derrière les portes de bronze, Vagda se bat héroïquement, jusqu’à ce que son adversaire ne lance un sort de ténèbres… Le forgelier décide alors de rompre le combat, trop désavantagé dans un combat en aveugle contre un démon. Mais alors qu’il vient de rejoindre ses compagnons, les ténèbres disparaissent… Un petit coup de soin magique, et il retourne dans la salle, toujours embrumée. Pas de trace du démon, mais un chant entêtant, qui provient d’en haut, du balcon.
Soudain, de derrière la rambarde de celui-ci, se dresse un gnoll. Pointant le forgelier du doigt, il vocifère « Si vous n’allez pas aux Abysses, alors les abysses viendront à vous » avant de partir d’un rire dément qui caractérise les grands méchants des romans d’aventures. Aussitôt, une masse de crânes noircis se repend depuis un des portails, accompagnées d’une odeur de mort et… D’un énorme démon au dos couvert des pointes hérissées, grognant et écumant.
Vagda décide alors qu’il a été assez héroïque aujourd’hui et fait demi-tour vers ses compagnons, les enjoignant de prendre, eux aussi, leurs jambes à leurs cous… Le regroupement s’opère dans la grande salle aux élévateurs. Personne ne semble les poursuivre, les aventuriers se détendent donc un peu, et envisagent la suite des opérations.
Suite à une discussion privée avec Kendri, Laurazhi –coup de théâtre– revient vers le groupe et confesse être une succube, et non une ensorceleuse. Pour le reste, elle dit n’avoir pas menti : elle recherche effectivement le portail, car elle veut l’utiliser pour rentrer chez elle. Elle se moque pas mal de ce qui pourra en être fait après, mais conseille tout de même au groupe, un petit sourire aux lèvres, de se méfier de Kendri. Pour preuve de sa bonne fois, elle donne à ses « amis » une série d’information sur le fonctionnement du portail. D’après elle, certains composantes nécessaires au fonctionnement du portail serait encore dans ce complexe, aux mains de sbires de Gashkarr…