mardi 21 septembre 2010

Le pont de la faille du Crâne

Bien entendu, le pont est déjà occupé. Les quatre tours qui l’encadrent, décorées de bannières inquiétantes, sont garnies de hobgobelins ; des molosses infernaux patrouillent sur le pont ; plus embêtant, un jeune dragon paresse sur le toit d’une des tours. De l’autre côté du pont, quelques tentes de peaux, abritant sans doute quelques adversaires supplémentaires. Heureusement, l’orée de la forêt est toute proche du pont, et il ne sera pas nécessaire de faire un long trajet à découvert…

Les aventuriers se lancent donc à l’assaut du vieux pont. Vonak et Briselame éliminent en deux coups de lame les molosses à l’entrée du pont, avant de traverser celui-ci en direction de l’autre bord, sous les flèches des hobgobelins qui ont réagi au quart de tour. Leurs compagnons montent aux deux tours Sud du pont pour en éliminer les défenseurs.

Les tirs de leurs adversaires ne sont malheureusement pas la plus dangereuse des menaces. Le dragon à pris son envole, et souffle au passage avant de retourner se remettre à l’abri à plusieurs reprises. Il prend garde de ne pas s’exposer aux attaques de corps à corps, compliquant singulièrement la tâche des combattants.

Tandis que dans les tours Sud, on peine à se débarrasser des défenseurs, Vonak et Briselame ont atteint l’autre rive, et se fraient à travers leurs adversaires un chemin vers le haut des tours Nord.

Le combat fait rage, Schrayen, Calahan et Thémiss, installés dans la tour Sud-Ouest, font feu sur leurs adversaires, se concentrant sur la dragon à chaque fois qu’il se découvre. Draël et Vagda ont fini par rejoindre la rive Nord, juste à temps pour assister à la mise à mort de l’officier hobgobelin. Malheureusement, sa mort ne semble pas calmer les ardeurs des soldats de la main rouge. Il faudra les passer au fil de l’épée jusqu’au dernier pour que le jeune dragon, maintenant seul, décide de prendre la fuite vers la forêt… Dans laquelle il s’écrasera, abattu par les artilleurs de la tour Sud.
Vous êtes trop bas. Remontez un peu, il n'y a rien à voir, ici…