Aéron ouvre la porte… Fort peu discrètement. Puis il la referme, aussi bruyamment. Ce qui n’a bien sûr pas manqué d’alerter les ennemis présents dans la pièce, qui se ruent à l’assaut des portes. Des gobelins et des hobgobelins, qui ne posent finalement que peu de problèmes aux aventuriers. Leurs adversaires défendaient ce qui ressemble à un dortoir aménagé sur une terrasse, surplombant ce qui est sans doute une ancienne salle de torture au sud, et se prolonge en une longue pièce au Nord.
Depuis le dortoir en hauteur, Kendri et Tharn observent la grande pièce à la lueur d’une lampe à huile trouvée parmi les affaires des hobgobelins. Il leur semble apercevoir une créature énorme tournant en rond au fond de la pièce, cachée par l’obscurité.
Le groupe finit par se décider à descendre dans la grande salle, pour être aussitôt attaqué par un fauve de la taille d’un cheval, et au dos hérissé de piquants. Son hurlement continu est à la limite du supportable. Draël a remarqué d’étranges traces au sol, qui semble limiter les déplacements de la bête, et invite ses compagnons à remonter dans le dortoir pour attaquer la bête à distance. Seuls Aéron et Vagda restent en bas, préférant le corps à corps. Mais cela tourne mal, la bête est trop puissante et met Aéron hors service avec une facilité déconcertante. Vagda remonte le paladin vers l’étage supérieur, et, heureusement, la théorie de Draël se vérifie : la bête semble incapable de monter les escaliers.
Bombardée de projectiles, elle finit par s’enfuir, hors de portée des armes des aventuriers, sans toutefois cesser de hurler. N’y tenant plus, Draël redescend pour tenter de l’attirer vers lui, et réussit au delà de ses espérances. En quelques bonds, la bête est sur lui et le met au sol. Ses compagnons parviennent heureusement à le remonter, pendant que Tharn inflige le coup fatal à la bête qui s’enfuyait à nouveau.
Draël et Aéron sont inconscients, Kendri et Vagda mal en points… La seule solution est de faire une pause. Bien qu’ils ne soient étrangement pas fatigués, les aventuriers décident de se reposer pendant que Vagda fera le guet.
Leur sommeil est troublé par l’arrivée de deux gobelins en armure lourde qui, bien que rapidement éliminés mettent un peu plus à mal le groupe. Le moral est au plus bas, Vagda s’étant désactivé. Tharn ne voit pas d’autre solution que de le réparer sur place, ce qui va prendre de longues heures. Heureusement, alors qu’il s’applique à remettre en route le forgelier, Draël sort de son inconscience et, puisant dans les énergies arcaniques proches, rend un peu de vigueur à ses compagnons.
Alors que Tharn est sur le point de terminer ses réparations, la porte de la pièce s’ouvre à la volée. Deux gobelins et deux créatures étranges –petites, grises, bossues et nimbées d’ombre– leur font face, prêts à en découdre. Les créatures bizarres sont vicieuses et les gobelins en armure coriaces, mais le combat tourne finalement à l’avantage du groupe lorsque le dernier gobelin survivant décide de fuir, mais s’écroule, endormi, à quelques mètres seulement de la porte. Kendri arbore un air satisfait, et pose sa dague sur le cou de gobelin, mais il est arrêté par ses compagnons, qui préfèreraient interroger un prisonnier.
L’interrogatoire leur apprend surtout qu’ils ont éliminé tous les pillards, et exploré presque tout le complexe –seules restent quelques salles non sécurisées par les gobelins. Ils ont retrouvé huit des caisses de la guilde Sicane, et il semblerait bien qu’il n’y en ait pas d’autres. Le gobelin, qui fait montre de bonne volonté, leur indique le bureau de ceux qu’il appelle les « émissaires ». Ils y trouvent quelques cartes annotées et des croquis qu’ils emportent.
Vagda et Tharn prennent donc la route de Sombertin pour demander à Vintra de mettre à leur disposition un chariot et une escorte, ce qui est chose faite. Les autres restent sur place pour surveiller le site.
De retour dans les collines, le groupe charge les caisses de la guilde ainsi que le matériel récupéré pour leur compte –des livres, principalement– sur le chariot, avant de repartir en ville. Quant à Wildauw, le gobelin qu’ils ont épargné, il les accompagne…
Depuis le dortoir en hauteur, Kendri et Tharn observent la grande pièce à la lueur d’une lampe à huile trouvée parmi les affaires des hobgobelins. Il leur semble apercevoir une créature énorme tournant en rond au fond de la pièce, cachée par l’obscurité.
Le groupe finit par se décider à descendre dans la grande salle, pour être aussitôt attaqué par un fauve de la taille d’un cheval, et au dos hérissé de piquants. Son hurlement continu est à la limite du supportable. Draël a remarqué d’étranges traces au sol, qui semble limiter les déplacements de la bête, et invite ses compagnons à remonter dans le dortoir pour attaquer la bête à distance. Seuls Aéron et Vagda restent en bas, préférant le corps à corps. Mais cela tourne mal, la bête est trop puissante et met Aéron hors service avec une facilité déconcertante. Vagda remonte le paladin vers l’étage supérieur, et, heureusement, la théorie de Draël se vérifie : la bête semble incapable de monter les escaliers.
Bombardée de projectiles, elle finit par s’enfuir, hors de portée des armes des aventuriers, sans toutefois cesser de hurler. N’y tenant plus, Draël redescend pour tenter de l’attirer vers lui, et réussit au delà de ses espérances. En quelques bonds, la bête est sur lui et le met au sol. Ses compagnons parviennent heureusement à le remonter, pendant que Tharn inflige le coup fatal à la bête qui s’enfuyait à nouveau.
Draël et Aéron sont inconscients, Kendri et Vagda mal en points… La seule solution est de faire une pause. Bien qu’ils ne soient étrangement pas fatigués, les aventuriers décident de se reposer pendant que Vagda fera le guet.
Leur sommeil est troublé par l’arrivée de deux gobelins en armure lourde qui, bien que rapidement éliminés mettent un peu plus à mal le groupe. Le moral est au plus bas, Vagda s’étant désactivé. Tharn ne voit pas d’autre solution que de le réparer sur place, ce qui va prendre de longues heures. Heureusement, alors qu’il s’applique à remettre en route le forgelier, Draël sort de son inconscience et, puisant dans les énergies arcaniques proches, rend un peu de vigueur à ses compagnons.
Alors que Tharn est sur le point de terminer ses réparations, la porte de la pièce s’ouvre à la volée. Deux gobelins et deux créatures étranges –petites, grises, bossues et nimbées d’ombre– leur font face, prêts à en découdre. Les créatures bizarres sont vicieuses et les gobelins en armure coriaces, mais le combat tourne finalement à l’avantage du groupe lorsque le dernier gobelin survivant décide de fuir, mais s’écroule, endormi, à quelques mètres seulement de la porte. Kendri arbore un air satisfait, et pose sa dague sur le cou de gobelin, mais il est arrêté par ses compagnons, qui préfèreraient interroger un prisonnier.
L’interrogatoire leur apprend surtout qu’ils ont éliminé tous les pillards, et exploré presque tout le complexe –seules restent quelques salles non sécurisées par les gobelins. Ils ont retrouvé huit des caisses de la guilde Sicane, et il semblerait bien qu’il n’y en ait pas d’autres. Le gobelin, qui fait montre de bonne volonté, leur indique le bureau de ceux qu’il appelle les « émissaires ». Ils y trouvent quelques cartes annotées et des croquis qu’ils emportent.
Vagda et Tharn prennent donc la route de Sombertin pour demander à Vintra de mettre à leur disposition un chariot et une escorte, ce qui est chose faite. Les autres restent sur place pour surveiller le site.
De retour dans les collines, le groupe charge les caisses de la guilde ainsi que le matériel récupéré pour leur compte –des livres, principalement– sur le chariot, avant de repartir en ville. Quant à Wildauw, le gobelin qu’ils ont épargné, il les accompagne…