Après plusieurs mois de calme, une promesse d’aventure est apportée par Draël. Ce dernier à officialisé la présence de la famille Orienne dans la vallée en ouvrant un comptoir à Sombertin, et un client lui a confié un colis de valeur qu’il aimerait faire parvenir rapidement à la frontière du Droâm, dans un petit village nommé Brelin-le-Bac. Le voyage s’annonçant long et mouvementé, Draël a fait appel a ses anciens compagnons pour l’accompagner.
Il laisse également une petite annonce indiquant qu’il recrute du monde pour un périple potentiellement dangereux. C’est ainsi qu’un forgelier imposant, répondant au nom poétique de Briselame, rejoint la caravane avant son départ. Il n’est guère causant, mais prétend que sa spécialité est de “briser des choses”.
Draël a décidé de court-circuiter les grandes routes commerciales, qui lui occasionneraient un long détour, préférant couper à travers la campagne en droite ligne vers Ardev, où il espère avoir d’avantage de renseignements sur le village qu’il doit atteindre, trop petit pour figurer sur les cartes qu’il possède.
Le voyage jusqu’à Ardev se fera sans encombres, de petits hameaux en fermes et d’auberges relais en monastères. Le groupe prend une demi-journée de repos, le temps pour Draël de trouver les renseignements dont il a besoin.
Brelin-le-Bac se trouve dans la vallée de l’Elsir, sur les contreforts des monts Grisemuraille. Cette vallée n’est guère un endroit notable, Et une seule caravane y passe chaque mois, pour en ramener les fruits cultivés par les fermiers du cru.
La dernière partie du voyage se passe elle aussi le mieux du monde, mis à part la chaleur étouffante d’un début d’été qui promet d’être caniculaire.
Mais alors que les aventuriers ne sont plus qu’à quelques kilomètres de Brelin, ils tombent dans une embuscade, tendue par des hobgobelins. Une vingtaine de soldats, accompagnés par quelques molosses sataniques, et qui se battent comme des militaires bien entrainés… Mais qui se mordront finalement les doigts d’avoir cru s’en prendre à une cible facile. Après quelques minutes d’un combat acharné, les corps des assaillants gîsents sur le sol, tandis que Draël et ses compagnons s’en sortent tous debout, bien que blessés…
Il laisse également une petite annonce indiquant qu’il recrute du monde pour un périple potentiellement dangereux. C’est ainsi qu’un forgelier imposant, répondant au nom poétique de Briselame, rejoint la caravane avant son départ. Il n’est guère causant, mais prétend que sa spécialité est de “briser des choses”.
Draël a décidé de court-circuiter les grandes routes commerciales, qui lui occasionneraient un long détour, préférant couper à travers la campagne en droite ligne vers Ardev, où il espère avoir d’avantage de renseignements sur le village qu’il doit atteindre, trop petit pour figurer sur les cartes qu’il possède.
Le voyage jusqu’à Ardev se fera sans encombres, de petits hameaux en fermes et d’auberges relais en monastères. Le groupe prend une demi-journée de repos, le temps pour Draël de trouver les renseignements dont il a besoin.
Brelin-le-Bac se trouve dans la vallée de l’Elsir, sur les contreforts des monts Grisemuraille. Cette vallée n’est guère un endroit notable, Et une seule caravane y passe chaque mois, pour en ramener les fruits cultivés par les fermiers du cru.
La dernière partie du voyage se passe elle aussi le mieux du monde, mis à part la chaleur étouffante d’un début d’été qui promet d’être caniculaire.
Mais alors que les aventuriers ne sont plus qu’à quelques kilomètres de Brelin, ils tombent dans une embuscade, tendue par des hobgobelins. Une vingtaine de soldats, accompagnés par quelques molosses sataniques, et qui se battent comme des militaires bien entrainés… Mais qui se mordront finalement les doigts d’avoir cru s’en prendre à une cible facile. Après quelques minutes d’un combat acharné, les corps des assaillants gîsents sur le sol, tandis que Draël et ses compagnons s’en sortent tous debout, bien que blessés…
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