Les jours passent dans les monts Bouclier-du-Géant, et les aventuriers ne trouvent décidément aucune trace d’une armée hobgobeline. Les hiboux géants des Tiri-Kitors patrouillent jour et nuit, se relayant en vain… Et pendant ce temps, la Horde s’approche de Brindol.
Le groupe finit par décider de rentrer en ville. De toute façon, si une armée se cachait au Nord, elle doit déjà être en route, pour faire jonction avec le gros des forces de la Main Rouge. Draël demande donc aux elfes de surveiller tous les chemins et routes qu’une force militaire pourrait emprunter pour rejoindre Brindol. Rien. Il est temps de penser aux derniers préparatifs de défense de la ville.
Les jours suivants seront passés à réviser les défenses, à la recherche de points faibles à renforcer, mais aussi à tenter de débusquer d’hypothétiques espions de la Main Rouge. A ce titre, Vagda donnera quelques sueurs froides à ses compagnons en allant rendre visite à Milla, l’espionne capturée, dans les cachots du château. Callahan devra interdire aux gardes de laisser entrer le forgelier, qui refuse de dire à ses compagnons de quoi il a discuté avec leur ennemie.

Enfin, le jour tant redouté arrive. La horde est en vue. Les premières unités s’installent sur une colline en face des portes Ouest, à un peu moins de deux kilomètres de la ville. Petit à petit, d’autres unités se déploient, certaines traversant même la rivière pour contourner entièrement la ville.
Au soir de l’arrivée de la horde, les tambours de guerre commencent à résonner, inlassablement. Cela continue toute la nuit, et ne semble pas cesser d’avantage au matin, avec pour effet prévisible de saper le moral des défenseurs. Le capitaine Ulvers fait part au groupe d’une vague de désertion assez inquiétante ; Si beaucoup d’hommes ont réussi à prendre la fuite par la rivière, il est parvenu à en arrêter une bonne partie, qui attendent que l’on décide de leur sort dans les prisons de la ville.
Callahan décide de leur rendre une petite visite. Accompagné de ses amis, il tente de convaincre les déserteurs de reprendre leur place dans leurs unités pour défendre la ville. Mais le résultat n’est pas à la hauteur des efforts fournis… La plupart préfèrent attendre leur fin ici, et gagner quelques heures de sursit, plutôt que de mourir en première ligne dans les premières heures du combat.
Toute la journée, le battement des tambours et des armes contre les boucliers se poursuit, rythme entêtant et de funeste augure. Chacun cherche le calme là où il peut le trouver. Le seul réconfort des citadins est que la Horde ne semble pas avoir songé à monter d’engins de siège. Cela dit, la silhouette de quelques géants et de créatures volantes –des dragons ?– minimise l’optimisme. Le soir tombe à nouveau sur la ville qui attend…
Enfin, une heure après le coucher du soleil, les tambours se taisent. La Horde s’est mise en marche. Dans moins d’une heure, elle sera aux murs de la ville.
Le groupe finit par décider de rentrer en ville. De toute façon, si une armée se cachait au Nord, elle doit déjà être en route, pour faire jonction avec le gros des forces de la Main Rouge. Draël demande donc aux elfes de surveiller tous les chemins et routes qu’une force militaire pourrait emprunter pour rejoindre Brindol. Rien. Il est temps de penser aux derniers préparatifs de défense de la ville.
Les jours suivants seront passés à réviser les défenses, à la recherche de points faibles à renforcer, mais aussi à tenter de débusquer d’hypothétiques espions de la Main Rouge. A ce titre, Vagda donnera quelques sueurs froides à ses compagnons en allant rendre visite à Milla, l’espionne capturée, dans les cachots du château. Callahan devra interdire aux gardes de laisser entrer le forgelier, qui refuse de dire à ses compagnons de quoi il a discuté avec leur ennemie.

Enfin, le jour tant redouté arrive. La horde est en vue. Les premières unités s’installent sur une colline en face des portes Ouest, à un peu moins de deux kilomètres de la ville. Petit à petit, d’autres unités se déploient, certaines traversant même la rivière pour contourner entièrement la ville.
Au soir de l’arrivée de la horde, les tambours de guerre commencent à résonner, inlassablement. Cela continue toute la nuit, et ne semble pas cesser d’avantage au matin, avec pour effet prévisible de saper le moral des défenseurs. Le capitaine Ulvers fait part au groupe d’une vague de désertion assez inquiétante ; Si beaucoup d’hommes ont réussi à prendre la fuite par la rivière, il est parvenu à en arrêter une bonne partie, qui attendent que l’on décide de leur sort dans les prisons de la ville.
Callahan décide de leur rendre une petite visite. Accompagné de ses amis, il tente de convaincre les déserteurs de reprendre leur place dans leurs unités pour défendre la ville. Mais le résultat n’est pas à la hauteur des efforts fournis… La plupart préfèrent attendre leur fin ici, et gagner quelques heures de sursit, plutôt que de mourir en première ligne dans les premières heures du combat.
Toute la journée, le battement des tambours et des armes contre les boucliers se poursuit, rythme entêtant et de funeste augure. Chacun cherche le calme là où il peut le trouver. Le seul réconfort des citadins est que la Horde ne semble pas avoir songé à monter d’engins de siège. Cela dit, la silhouette de quelques géants et de créatures volantes –des dragons ?– minimise l’optimisme. Le soir tombe à nouveau sur la ville qui attend…
Enfin, une heure après le coucher du soleil, les tambours se taisent. La Horde s’est mise en marche. Dans moins d’une heure, elle sera aux murs de la ville.
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